Armita Pavir, étudiante en biologie cellulaire et moléculaire et militante dévouée des droits de l'homme, qui avait été condamnée à 22 mois et 17 jours de prison pour ses activités de plaidoyer, a été libérée après des mois de pression internationale et de vastes campagnes. Sa liberté est le résultat de la solidarité mondiale et des efforts incessants des organisations de défense des droits de l'homme qui ont fait entendre sa voix au monde entier.
Pendant son emprisonnement à Tabriz, Armita a subi une forte pression mentale et des restrictions sévères. Malgré des accusations injustes et la possibilité de demander une grâce fabriquée de toutes pièces en exprimant des remords, elle est restée fidèle à ses principes. Par sa grève de la faim, elle a démontré le pouvoir de la résilience et l'engagement inébranlable en faveur de la justice, même dans les conditions les plus difficiles.
Tout au long de son calvaire, de vastes campagnes de défense des droits de l'homme dans le monde entier, y compris les efforts de notre organisation, ont travaillé sans relâche pour attirer l'attention sur son sort. Cet effort collectif, combiné à la pression internationale et à la sensibilisation du public, a finalement abouti à sa libération.
La libération d'Armita Pavir n'est pas seulement la fin d'une résistance personnelle ; c'est une lueur d'espoir pour les millions de personnes qui luttent encore contre l'oppression et l'injustice dans le monde entier. Ce succès nous rappelle la force de la solidarité et le pouvoir durable de la voix de l'humanité face à l'adversité.
Célébrons cette victoire et poursuivons notre lutte pour la justice et la liberté pour tous ceux dont la voix n'est pas entendue.